

Edité par AO
Poumon vert de Lyon, le parc
de la Tête d'Or s'étend sur plus de 100 hectares : espaces boisés, prairies,
zoo ainsi qu'un grand lac où il fait bon canoter. C'est à la branche d'un de
ses arbres séculaires qu'un promeneur matinal découvre un pendu. L'autopsie ne
permet pas de déterminer son identité. Simultanément, un député disparaît
mystérieusement. Les deux enquêtes sont confiées au commissaire Séverac.
Agressions, meurtres et enlèvements se succèdent tandis qu'un redoutable
spectre émerge d'un passé pas si lointain...
Biographie: Né en 1958, Jacques Morize
écrit depuis 1986, et a publié plusieurs romans, dont la série des Luc
Castillon. En 2001, il quitte la région parisienne pour s’installer à Lyon, où
il devient directeur du développement d’une enseigne de la grande distribution.
Sa découverte enthousiaste de
la capitale des Gaules lui a inspiré le truculent commissaire Séverac, devenu
le personnage principal de ses quatre derniers polars.
SPSP: On retrouve avec plaisir le truculent « commissaire Séverac » devenu le personnage principal d’une série de cinq romans se déroulant à Lyon. Chaque titre correspond à un arrondissement de cette ville (Le diable de Montchat ; Rouge vaise ; Le fantôme des terreaux ; crime à la Croix rousse) L'enquête est intéressante et il n'y a aucun temps mort. On passe un très bon moment à lire cet auteur et je vous invite à tenter l'aventure, que vous soyez ou pas de Lyon . A déguster sans modération. Mieux qu'un beaujolais nouveau
( c'est une lyonnaise qui le dit)
SPSP: On retrouve avec plaisir le truculent « commissaire Séverac » devenu le personnage principal d’une série de cinq romans se déroulant à Lyon. Chaque titre correspond à un arrondissement de cette ville (Le diable de Montchat ; Rouge vaise ; Le fantôme des terreaux ; crime à la Croix rousse) L'enquête est intéressante et il n'y a aucun temps mort. On passe un très bon moment à lire cet auteur et je vous invite à tenter l'aventure, que vous soyez ou pas de Lyon . A déguster sans modération. Mieux qu'un beaujolais nouveau
( c'est une lyonnaise qui le dit)
«
Ouvrir un livre de Jacques MORIZE, c’est comme déboucher une bouteille de bon
vin. Il y a de l’arome, de la cuisse, du répondant et une longueur en bouche
qui n’appartient qu’à lui » Ludovic Francioli, DORA-SUAREZ-leblog
Il sera là le 3 Mars