mardi 25 avril 2017

Gérard COQUET


"Connemara Black"  de Gérard Coquet
Edité par  Jigal

La Connemara Black est une mouche artificielle permettant au pêcheur de ne jamais rentrer bredouille… C’est également le nom d’un ancien groupe armé de l’IRA, l’Armée Républicaine Irlandaise. Mais c’est aussi le surnom donné aux filles vivant dans cette baie, à l’ouest de l’Irlande. Elles sont souvent très belles mais plus revêches à apprivoiser qu’un poney des tourbières. Ciara McMurphy en est une. Après un mariage raté, elle a fui la région et s’est engagée dans la Garda, la police locale. Mais lorsqu’une série de meurtres balaie la ville de Galway, c’est elle que le commissaire Grady choisit d’envoyer sur ses terres natales afin de surveiller ce qui reste des indépendantistes. Et entre autres le vieux Zack, un chef de clan, un patriarche qui – entre terres désolées, légendes d’un autre temps, cimetières abandonnés et ex-combattants de tous bords – veille dans l’ombre… Mais sur quoi veille-t-il ?

Biographie : Gérard Coquet est romancier. Il devient expert-comptable stagiaire dans un cabinet de la région lyonnaise. L'envie de créer le pousse à reprendre l'entreprise familiale de location de linge, de la développer et de la vendre au bout de vingt ans. Parallèlement, il exerce pendant onze ans les fonctions de juge auprès du tribunal de commerce de Lyon. Il termine son mandat par une garde à vue, une mise en examen et un non-lieu en correctionnelle.

SPSP: Un peu dur au début pour entrer en Irlande mais la persévérance après quelques pages nous récompense. Cette immersion en période post IRA nous prend et nous retient dans ce pays où les légendes, les mages et la violence actuelles se marient. Mais l'homme est ce qu'il est et ne changera jamais. L'appât du gain sera toujours un moteur essentiel .
Un roman à  recommander et rêver pas de pêche au saumon mais de landes... 


samedi 22 avril 2017

Nicolas BEUGLET

" Le cri "  de Nicolas Beuglet
Edité par XO

Hôpital psychiatrique de Gaustad,  Oslo. À l'aube d'une nuit glaciale, le corps d'un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l'hôpital semble si peu à l'aise avec l'identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, inspectrice dépêchée sur place, cette affaire ne ressemble à aucune autre.
C'est le début d'une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l'île de l'Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, elle va lier son destin à celui d'un journaliste d'investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous : la vie après la mort...
Inspiré par des découvertes et des événements réels, c’est une histoire menée tambour battant, avec des personnages forts et dynamiques, qui se lancent à la poursuite de secrets enfouis estampillés CIA.
Biographie:Scénariste, Nicolas Beuglet a publié un premier roman sous le nom de Nicolas Sker : 'Le premier crâne' (2011).
'Le cri' est son 2e roman. 
SPSP: Pour ce qui est de la maîtrise de l'enquête et des rebondissements spectaculaires, on est plutôt bien servis par cet auteur, qui dans la vie, est scénariste. Le cri triller effroyable, au style efficace et parfaitement maitrisé, le rythme est soutenu, les rebondissements fréquents, les personnages humains et attachants, l’histoire parfaitement documentée. On est littéralement possédé par ce récit qui ne laisse pas indifférent. A ne rater sous aucun prétexte.





dimanche 9 avril 2017

Pour les jeunes auteurs...

Une recommandation pour tous ceux qui rêvent d'être édités......Heureusement que tous les éditeurs ne sont pas à cette enseigne. Nous en connaissons de très bien.


https://quelunivers.wordpress.com/2017/04/08/jetais-un-auteur-jeunesse-benevole/