Edité par Fleuve Noir
Alexandra, «Alex» Duesco, flic, mère
célibataire, alcoolique, officie aux crimes et délits sexuels d'un commissariat
de quartier du nord de Paris.
Epaulée par Marco Cantera, un homme honnête et
fidèle qui tient énormément à sa coéquipière, à qui il reproche (au départ du
moins) de vouloir le garder à distance.
Malgré leur relation «personnelle», ces deux
personnages restent toujours très professionnels et prêts à tout pour protéger
l'autre.
Supervisée par le commissaire Blondeau,
entourée d'une flopée de flics et bientôt filmée par un jeune loup soi-disant
documentaliste, armée d'un courage à toute épreuve, Alex mène ses
investigations du mieux qu'elle peut.
Dans le cadre de son boulot, elle se retrouve
chargée d’enquêter sur des violences (coups, viols...) faites à des hommes dont
certain refusent de porter plainte.
Camille «Kirko» Wreskansky, un livreur, à été
retrouvé dénudé et battu comme plâtre. Andréa Carrout (un homme), s'est fait
violer au sortir d'une boîte de nuit.
Il semblerait bien que quelqu'un cible volontairement
les hommes.
Et les choses ne semblent pas se calmer car
chaque jour, Alex et son coéquipier, se retrouvent avec une nouvelle affaire
d'agression violente sur des hommes.
En enquêtant sur ces victimes, ils découvrent
que ce sont loin d’être des enfants de choeur.
Mais qui donc a bien pu décider de s'en
prendre à eux ?
Biographie: le premier thriller de Louise Mey, jeune auteur de 33 ans qui vit et travaille à Paris.
SPSP: On s'attache rapidement aux héros, Alex et son
partenaire Marco, révoltés par tant d'horreur, de viols, de manque de moyens
pour aider les victimes et punir les agresseurs.
Agressions sexuelles,
peurs, relations hommes-femmes, internet, facebook sont les thématiques
abordées par Louise Mey dans ce premier roman.
L'auteur s'est beaucoup
documentée et les chiffres de viols, d'agressions, de harcèlement donnent le
vertige.
L'originalité du roman
c'est que ce sont des hommes qui sont agressés et la police est sommée de
bouger et de trouver rapidement les coupables. Plus l’enquête traîne, plus la
terreur s'empare des hommes.