jeudi 22 février 2018

Dominique TERRIER


"Tuez moi demain" de Dominique Terrier
Edité par Carnet à Spirale

Pilier de bistrot à l’humeur nonchalante, Poulbot, voyou au grand cœur, va devoir faire quelques entorses à sa philosophie non-violente. Tout en gardant son sens de l’humour, il devra affronter un nazillon frustré, des kidnappeurs amateurs et une psychopathe à l’haleine fétide.                                                                              
 De Paris à Lyon, en passant par l’Écosse, Londres et la Corse, l’aventure est toujours au rendez-vous pour Poulbot et ses copains Lolo, Dudley et Claudius, personnages aussi pittoresques que fidèles en amitié.                    Toujours partants pour des coups fumants ou fumeux, souvent à l’insu de leur plein gré, les joyeux drilles vont croiser des trafiquants d’organes, des nazis en mal de suprématie, le chanteur de Deep Purple et un diamant disparu depuis la seconde guerre mondiale.

Biographie:Est né en 1959 à Lyon. Il vit dans un petit village de l’Isère. Passionné par la lecture et l’écriture depuis son plus jeune âge, il publie des aphorismes, des chroniques et des nouvelles sur différents sites littéraires, d’abord sous le pseudonyme de Jean Marcel puis sous son vrai nom. « Tuez moi demain » est son premier romans, inspiré  de faits divers authentiques mêlés à des éléments autobiographiques.

SPSP:Ce polar est mené tambour battant à coups de références cinématographiques et musicales.                                                                                                                                Enfin du polar ou on se marre !
Avis aux amateurs, ils y trouveront leur compte !

Tuez moi demain a un petit goût vintage que revendique l’auteur:
«C’est un hommage aux romanciers de l’après-guerre qui ont secoué le cocotier du politiquement correct, des auteurs qui employaient un nouveau langage, basé sur l’argot mais constamment inventif, où la métaphore et le bon mot fleurissaient entre les pavés de Paris. Je pense à Albert Simonin, Antoine Blondin, Alphonse Boudard et Frédéric Dard»  
. «Mes films de chevet, ceux qui m’inspirent le plus sont ceux de Georges Lautner où Michel Audiard, scénariste et dialoguiste, mettait les cons au pilori».
  

Et lui aussi il sera là le 3 mars